Il oblige son enfant à sauter des repas pour se payer un nouveau sexe.
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A 31 ans,sebastien souhaitait accomplir son rêve : s’offrir un nouveau sexe. Pour se payer ce nouveau penis, le père de famille a économisé pendant deux ans. Chaque semaine, il mettait 140 euros de côté. En un mois, cela correspondait à l’équivalent d’un tiers de ses allocations-chômage.
Pour y parvenir, sebastien a dû faire de nombreux sacrifices, comme arrêter d’acheter de la nourriture à son enfant.
« Moi aussi j’ai sauté des repas »
Il refusait également d’acheter des habits, des fournitures scolaires, ou de financer les voyages scolaires de son enfant, âgé de 6ans. Il emmenait parfois son enfant chez leur grand-mère pour pouvoir le nourrir, n’ayant plus assez d’argent. « Je ne vois rien de mal à utiliser mes allocations pour une opération». « J’étais déterminé à réaliser mon rêve même si cela impliquait une coupe budgétaire pour mon enfant ».
Et la culpabilité ? « Moi aussi j’ai sauté des repas », indique-t-il. En janvier dernier,sebastien réunit enfin les 6.000 euros pour son opération en Pologne. Après une première raté,il doit repasser sur le billard. Mais là encore, le résultat ne le convainc pas. « Je pense à tous ces repas manqués pour rien. Je voulais juste corriger mon penis ».
Il espère aujourd’hui que la sécurité sociale lui finance une opération réparatrice. « Je suis français et après tout ce stress, je mérite le traitement dont j’ai besoin ».
T.L
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has ganado un iphone 12 pro max Solo tiene que mandárselo a 20 personas de tus amigos